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Chelidonium majus. (63 symptômes)
Psychisme et Prédispositions psychologiques (Chelidonium majus)
Déprimé et abattu, avec tendance à pleurer.
Tête. (Chelidonium majus)
Sensation de froid au niveau de l’occiput, montant le long de la nuque ; < par le mouvement, > par le repos.
Pointes au niveau du vertex, surtout en marchant vite.
Fourmillement, engourdissement dans et sur la tête.
[5] Sensation de brûlure au niveau de la tête.
Yeux. (Chelidonium majus)
Contraction des pupilles.
Pression douloureuse sur la paupière supérieure.
Inflammation et agglutination nocturne, avec baisse de la vision le matin.
Fistule lacrymale.
Oreilles. (Chelidonium majus)
[10] Sensation comme si du vent sortait des deux oreilles.
Sifflement au niveau des Oreilles, comme du vent.
Perte de l’audition pendant la toux.
Nez. (Chelidonium majus)
Coryza sec, avec obstruction partielle du nez (un seul côté).
Face. (Chelidonium majus)
Rougeur de la face, sans fièvre.
[15] Tension et tiraillement dans l’os malaire (gauche).
Démangeaison au niveau de la face, et sur le front.
Herpes facial, surtout au menton.
Gorge. (Chelidonium majus)
Sensation comme si le larynx était pressé contre l’oesophage, empêchant la déglutition.
Sensation comme si la gorge était bouchée, comme si, on avait avalé un morceau trop gros.
Appétit et Saveur. (Chelidonium majus)
[20] grand désir, qu’il supporte très bien.
Goût amer dans la bouche.
Estomac et Abdomen. (Chelidonium majus)
Hoquet.
Fréquentes remontées d’air.
Éructations fréquentes, ayant le goût de baies de genévrier.
[25] Nausées, avec sensation de chaleur dans l’estomac.
Sensation de rongement dans l’estomac, > en mangeant.
Brûlures dans l’estomac.
Sensation de froid dans l’estomac.
Douleurs coupantes dans l’estomac en bâillant ; sitôt après avoir mangé.
[30] coliques ; le nombril est tiré vers le dedans ; nausées.
Selles et Anus. (Chelidonium majus)
Constipation, selle dure en morceaux durs.
Diarrhée glaireuse, la nuit.
Organes Urinaires. (Chelidonium majus)
Sensation de pression dans la vessie, avec une émission minime d’urine.
Urine pâle.
[35] Douleurs ou sensations brûlantes, dardantes et coupantes dans l’urètre.
Organes Sexuels. (Chelidonium majus)
Femmes.
Menstruation trop en retard ; trop abondante, et de trop longue durée.
Absence de lait.
Poitrine. (Chelidonium majus)
Oppression de la poitrine, respiration oppressive.
Pointes, piqûres dans le côté gauche de la poitrine durant une inspiration;
Dos. (Chelidonium majus)
[40] Douleur (pinçante) au dessous de l’omoplate droite (entravant le mouvement du bras).
En se penchant en avant ou en arrière, douleur pressive déchirante dans le dos, comme si les vertèbres avaient brisées en morceaux.
Extrémités. (Chelidonium majus)
Supérieures. Pression parésiante, paralytique au niveau de la partie supérieure du bras.
Rigidité du poignet.
La partie antérieure des articulations des doigts (de la main droite), devient jaune, froide et comme morte ; les ongles sont bleus.
[45] Douleurs déchirantes, exquises au bout des doigts de la main (droite).
Inférieures. Faiblesse paralytique, parésiante au niveau de la cuisse (gauche) et du genou, en marchant.
Raideur, rigidité des chevilles.
Les orteils sont comme morts, aucune sensation.
Généralités. (Chelidonium majus)
Sensation d’avoir les membres paralysés, parésiés.
[50] Raideur, rigidité dans les articulations (poignet, cheville).
Sommeil. (Chelidonium majus)
S’endort tardivement.
Insomnie, avec envie de dormir.
Transpiration pendant le sommeil du matin.
Fièvre. (Chelidonium majus)
Pouls petit et rapide ; plein, dur, mais pas très accéléré, vers le soir.
[55] Frisson interne, en marchant au grand air ; > dans une pièce.
Frissons et froid du corps tout entier, plus particulièrement au niveau des mains et des pieds.
Chaleur fébrile interne dans la soirée, après s’être couché, sans soif .
Transpiration durant le sommeil, après minuit ; dans les heures matinales ; cesse immédiatement après le réveil.
Peau. (Chelidonium majus)
Vieux ulcères, putrides, qui s’étendent.
Conditions, Modalités, Concomitants. (Chelidonium majus)
[60] Grande asthénie, grande lassitude après avoir mangé ; après le réveil du matin.
Désir s’allonger, se coucher après un repas.
Aversion pour le mouvement ; il se sent fatigué au moindre effort.
Aggravation le matin.
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