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LOPHOPHORA WILLIAMSII. (Lophophora wiliamsii)
C'est là un proving extrêmement important, et relativement peu connu en France ; peu d'homoeopathes prescrivent ce remède, et pourtant, comme vous le lirez plus loin, il mérite de l'être, tellement ses indications sont importantes en Neuro‑psychiatrie.
Ce produit se nomme également Peyotl, Petit cactus sans piquant, qui contient une drogue hallucinogène.
Pour le prescrire en France, en dynamisations homoeopathiques, vous pourrez écrire soit : Peyotl, soit Anhalonium Williamssii ; certains laboratoires vous demanderont une feuille de votre carnet de toxiques pour le délivrer, même en 30 c., ce qui est absurde, alors que Thébaïqua, vous est délivré sur ordonnance ordinaire ; donnez donc votre préférence aux laboratoires faisant preuve de sens pratique et vous aidant dans la prescription de cette drogue, réalisant quelquefois des miracles dans la thérapeutique des maladies mentales.
Le remède est fabriqué à l'aide de la plante tout entière, et quelquefois dénommé Mescaline.
Provings : Voici tout d'abord la liste des anciens provings :
Gisevius : Deut. Zeit. f. Hom., 1932.
Hale : Hahn. Month., 31, 776.
Weir Mitchell : Mo. Hom. Rev., 41, 112. N. E. Med. Gaz., 32, 129. Calcutta J.L. Med., 16, 223.
Le proving dont je vous donne la traduction fut réalisé sous la direction de Ungar (Allegemeine Homoopathische Zeitung, 203, 572‑7, 1958) avec la collaboration de six provers et cela, durant un an.
Le directeur de proving signale qu'il n'a nullement utilisé les placebos, car toutes les prises de la drogue étaient entrecoupées de pauses d'un ou deux mois.
Génie du remède, par le Docteur Stephenson.
Ce dernier nous brosse un tableau caractéristique de la drogue, et je pense qu'il est intéressant de le reproduire, surtout lorsque Stephenson nous signale les résultats intéressants qu'il a obtenus dans le domaine psychiatrique à l'aide de ce remède.
Voici donc en substance, ce que nous dit le Docteur Stephenson :
« ... Le symptôme clé de ce remède, c'est la schizophrénie, c'est‑à‑dire une vie psychique entre le conscient et l'inconscient.
Il existe une retraite, un repli, à partir de la réalité objective, vers une vie intérieure si riche, si variée, que le monde objectif perd toute sa signification et tout son attrait.
L'aspect de la plante elle-même traduit, grâce à la doctrine des signatures, ce monde irréel ; la plus grosse partie du corps de la plante, de coloration verte bleuâtre, se situe sous terre, c'est‑à‑dire symboliquement dans le monde inconscient des Forces Telluriques, tandis que seules, les feuilles roses, les fleurs rouges, le fruit cramoisi, et l'étamine jaune, se trouvent à l'extérieur, c'est‑à‑dire symboliquement dans le monde conscient, celui des forces extra telluriques.
Probablement, comme conséquence de cette disjonction entre le conscient et l'inconscient, on voit apparaître une espèce de léthargie, de mise en sommeil, des fonctions physiologiques sexuelles et de la faim, ainsi qu'un désir marqué de compagnie.
(Sur ce point l'action est similaire à ce que l'on enregistre après avoir fumé de l'Opium). Et pourtant, en dépit de cette léthargie, de cette récession, on note une insomnie marquée la nuit surtout, insomnie occasionnée par une hyperactivité psychique.
La dissociation psychique s'accompagne de nombreux symptômes neurologiques périphériques tels que : engourdissement, fourmillements, anesthésie, surtout au niveau de la langue et des membres, avec la sensation d'un courant électrique genre rayons X.
Les aberrations visuelles se situent parmi les plus riches que nous puissions trouver dans notre M.M. Les plus marquantes sont les sensations auditives et tactiles, ressenties en tant que couleurs.
L'impression visuelle peut être tellement importante qu'elle entraîne à sa suite la sphère psychique tout entière. Les perceptions du bleu et du vert sont augmentées, beaucoup plus soutenues, tandis qu'au contraire, le rouge et le jaune sont moins perçus.
Autrement dit, le rouge et le jaune de la conscience vigile ont été déplacés vers le monde plus subjectif des bleus et des verts, plus proche de l'ultraviolet dans le spectre visuel.
Un symptôme intéressant fut le suivant : la coloration verte fut ressentie comme un goût métallique dans la bouche ; également, des objets bidimensionnels apparurent sous forme de corps multi dimensionnels.
Dans la sphère mentale, il existe une telle richesse de symptômes qu'en réaliser l’analyse, s’avère une entreprise extrêmement difficile. Comme nous l'avons dit plus haut, le trait saillant est représenté par ce repli, par cette invagination vers un monde intérieur à l'exclusion du monde extérieur, l’absence de volonté est telle que cette dernière évolue pour son propre compte ; elle possède une autonomie absolue, divorcée qu'elle est de toute censure mentale.
On retrouve ici tous les symptômes classiques des expériences mystiques, c'est‑àdire : l'euphorie, la béatitude, la perte de notion du temps du monde terrestre, matériel, la perte de conscience de soi-même, de son existence propre, la sensation d'une union avec un moi plus grand que le sien propre, et l'éternelle renonciation au monde.
On retrouve parmi les hallucinations, celle qui est classique chez les schizophrènes, c'est‑à‑dire que les « visages apparaissent comme des masques ».
J'ai eu à soigner une schizophrénie avec catatonie, hallucinations religieuses, et exhibitionnisme sexuel ; une dose de Peyotl 200 C. l'améliora tellement que le psychiatre fut stupéfait de son rapide retour à la réalité avec un seul jour de Thorazine (sic).
En dilutions grossières, on utilise Peyotl pour calmer la faim et soif, ainsi que la fatigue générale » (Docteur J. Stephenson).
1. — Symptômes expérimentaux
Psychisme. (Lophophora wiliamsii)
Augmentation de la puissance psychique.
Les concepts abstraits deviennent comme des images, paralysie de la pensée.
Brusques changements d'attitudes dans l'action, action retardée, différée, action incomplète, le processus d'action interne cesse.
Perte de l'adaptabilité.
La discrimination analytique est augmentée.
Anxiété, frileux, frilosité, anxiété au sujet de la mort,
Apathie.
Toute chose semble artificielle.
Automatismes mentaux.
Augmentation de l'attention.
Conscience aiguë de son corps.
Sensation d'avoir le psychisme comme bloqué, figé, amidonné.
Broie du noir.
Sensation d'être conduit, porté par la musique.
La pensée conceptuelle au sujet de ce qui environne le « prover » est pauvre.
Perte de l'aptitude à tirer des conclusions.
Confusion au sujet des situations.
Perte de la conscience du moi.
Mysticisme cosmique.
Sensation d'être mort.
Décomposition, distorsion des formes, de l'espace.
Déformation de tous les objets.
Hallucinations : les visages apparaissent comme des masques ; que l'on intrigue, que l'on machine, de ne pas avoir de corps matériel ; de se voir soi-même ; visuelles ; de répondre à quelqu'un ; de petits objets qui se mettent en mouvement ; de se tenir à côté de soi-même ; de voir toutes les choses transparentes.
Dépersonnalisation.
Dépression, mélancolie.
Impression d'être en morceaux,
Dissociation, de ce qui l'environne.
Doute, scepticisme.
État de rêve.
Extase.
Introversion égocentrique, mysticisme.
Perte de l'égocentrisme.
Participation émotionnelle dans toutes les perceptions.
Augmentation de l'orientation avoisinante.
Sensation que le présent est fondu avec l'éternité.
Excitabilité.
Le pouvoir d'exécution est perdu à cause des sensations visuelles excessives.
Décomposition de la volonté, de l’action, de l'effort.
Perte de l'horizon existentiel.
Décrois de l'expérience vitale.
Désir de s'expliquer soi-même, de se connaître en profondeur.
Perte de la sensibilité, de la sensation de soi-même.
Sensation de voler, d'être libre.
Hallucinations visuelles.
Sans espoir, perte de l'espérance.
Idées de vol (en l'air).
Identification de soi-même avec le milieu environnant.
Sentiment d'immoralité.
Indécision.
Indifférence.
Perte du pouvoir d'initiative, initiative perturbée, faible, vacillante.
Vue intérieure augmentée, mais absence de volition.
Sensation d'être ivre, comme d'avoir bu.
Introversion égocentrique.
Ironie.
Irritabilité.
Sentiment d'isolement, de solitude.
Le jugement est augmenté, perte du pouvoir de juger à cause des sensations visuelles irrésistibles, toutes puissantes.
Luminosité extrême.
Sentiment d'abandon.
Loquacité.
Mélancolie
La mémoire est augmentée, mais ne peut la contrôler ; mémoire augmentée pour le passé mais perturbée en ce qui concerne les faits récents.
Fonte de soi-même dans le milieu environnant.
Humeur changeante.
Les mouvements se matérialisent, deviennent apparents.
Sensation d'être porté par de la musique.
Mysticisme cosmique, égocentrique.
Observation objective du monde immatériel.
La pensée tranquille et méthodique est subjuguée par le nombre excessif des sensations visuelles.
Sensation de se trouver au dehors de soi-même.
Paralysie émotionnelle.
Passivité.
Les perceptions sont perturbées.
Syndrome des esprits frappeurs.
S'envole de la réalité.
Renonciation éternelle.
Résignation.
Sarcasmes.
Agitation.
Perte de sa volonté, de l'affirmation de soi-même.
Vigilance conservée mais volonté absente.
Perte de la maîtrise de soi.
S'identifie au monde environnant.
Perte de la conscience de soi.
Sa conscience est comme réfléchie par un miroir.
Sensibilité au bruit.
Perte de l'orientation spatiale.
Langage inarticulé, monotone, rapide.
Idées renversantes, atterrantes.
Démarche chancelante.
Gestes stéréotypés.
L'appréciation de la situation est difficile.
La pensée n'a plus aucun rapport avec la volonté.
L'entendement se transforme en clairvoyance.
Le temps semble plus long, plus court. perte de la notion de temps.
Incertitude.
La conscience devient inconsciente.
Toute chose semble irréelle.
Instable et inconstant.
Difficile à émouvoir.
Absence de volition avec vue intérieure augmentée.
Sensation d'avoir à attendre.
Absence de volonté avec vigilance de soi conservée. dissolution de la volonté, perte de la volonté, volonté comme bloquée.
La volonté n'a plus aucun rapport avec l'entendement.
Retrait de la réalité.
Les mots sont difficiles à trouver.
Tête (Lophophora wiliamsii)
Chaleur du cuir chevelu.
Douleurs des cheveux, du cuir chevelu.
La pression intracrânienne est augmentée.
Yeux (Lophophora wiliamsii)
Dilatation pupillaire.
Sécheresse, chiasma, interne, des papilles, des sclérotiques.
Hippus.
Douleur profondément située, irradiant aux sinus antérieurs, au chiasma optique, brûlante, au niveau du chiasma, des papilles, des sclérotiques.
Sensation de pression pulsante derrière les yeux.
Proéminence des yeux.
Mouvements incessants des pupilles.
Nystagmus.
Vision. (Lophophora wiliamsii)
Suractivée à la lumière solaire.
Les images persistent sur la rétine durant une journée, durant une heure.
Bizarre.
Formes noires.
Brillance variable.
Coloration bleue augmentée, de même pour le vert. la coloration occasionne un goût métallique. la coloration du rouge est amoindrie. de même pour le jaune.
Les objets incolores apparaissent colorés.
Tout apparaît en une couleur unique.
Vision est augmentée, est perçue comme un son, un bruit, est perçue comme une sensation tactile.
Taches brillantes et rapides devant les yeux.
Relief augmenté.
Les objets apparaissent déformés. double.
Scintillements.
Vision nuageuse.
Les images sont intériorisées au niveau de l'oreille.
Les objets apparaissent petits mais infinis.
Les objets apparaissent plus gros.
Éclairs.
Vision brumeuse, floue.
Les objets sont animés d'un mouvement décentré.
Tous les objets apparaissent sans mouvement.
Vision multiple.
Vision subjugue toutes les fonctions mentales.
Les perspectives visuelles sont perturbées.
Vision hors de proportion d'avec la réalité.
Anneaux.
Les objets se chevauchent, s'entremêlent.
Les objets croissent et décroissent en taille.
Les objets apparaissent plus petits.
Étincelles.
Vision stéréoscopique devient hypersensible, suraiguë.
Vision et gustation sont entremêlées, fondues entre elles.
Fils, ficelles, brillantes.
Les objets bidimensionnels deviennent multidimensionnels.
Sensation d'avoir des essuie-glaces devant son champ visuel.
Les caractères d'écriture apparaissent plus gros, plus petits.
Oreille. (Lophophora wiliamsii)
Douleur au niveau de la conque antérieure, occasionnée par le bruit.
Douleur pressive au niveau de la conque antérieure, au niveau du méat externe.
Audition. (Lophophora wiliamsii)
Suraiguë, suractivée, hypersensible.
L'origine des sons est perçue incorrectement.
Les bruits, les sons sont perçus en tant que couleurs.
Les sons sont comme désintégrés.
Nez. (Lophophora wiliamsii)
Douleur de la cavité nasale.
Face. (Lophophora wiliamsii)
Les lèvres sont froides.
Les paupières sont sèches.
Les sinus maxillaires sont secs.
Les lèvres sont chargées, comme revêtues d'un enduit.
Sensation de lourdeur des lèvres, des muscles de la mastication.
Engourdissement de la lèvre supérieure,
Douleurs des paupières, de la mâchoire supérieure, des muscles de la mastication, des sinus ethmoïdaux, frontaux, maxillaires.
Paralysie des muscles de la mastication
Sensation de pression au niveau du revêtement cutané des tempes, sensation de pulsation, de battement..
Sensation de battements à type de pression.
Sensation de rigidité.
Sensation de sable au niveau de la paupière inférieure.
Latéralité gauche des symptômes de la face.
Bouche. (Lophophora wiliamsii)
La langue est froide.
Fourmillements au niveau de la moitié antérieure de la langue.
La moitié antérieure de la langue est chargée.
Lourdeur de la langue, au niveau de la moitié antérieure.
Stries d'irritation au niveau de la langue.
Douleur au niveau de la voûte palatine.
Sensation de paralysie au niveau de la voûte palatine.
Salivation.
La couleur verte occasionne un goût métallique dans la bouche, goût et vision sont entremêlés, fondus ensemble.
Absence complète de gustation.
Gorge. (Lophophora wiliamsii)
Sensation de pression externe au niveau de la thyroïde.
Pulsation au niveau de la thyroïde.
Gonflement de la thyroïde.
Estomac. (Lophophora wiliamsii)
Augmentation importante de l'appétit, le fait de manger n'apporte aucune satisfaction. Appétit insatiable, perdu.
Nausées.
Vomissements.
Vessie. (Lophophora wiliamsii)
Urine fréquemment.
Organes génitaux. (Lophophora wiliamsii)
Sont froids
Libido diminuée, perdue.
Respiration. (Lophophora wiliamsii)
Désir effectuer des inspirations profondes.
Sensation d'oppression.
Poitrine. (Lophophora wiliamsii)
Sensation de constriction cardiaque.
Sensation de peur, d'angoisse cardiaque.
Oppression thoracique.
Palpitations de cœur.
Sensation d'arrêt du cœur.
Sensation de piqûre, comme par des épingles, au niveau du cœur.
Extrémités. (Lophophora wiliamsii)
Perte de la notion de position des extrémités.
Transpiration.
Sommeil. (Lophophora wiliamsii)
Rêves visionnaires.
Insomnie la nuit, occasionnée par une hyperactivité psychique, a sommeil durant toute la journée.
Sommeil le jour, insomnie la nuit.
Frissons. (Lophophora wiliamsii)
Du corps tout entier.
Importants.
Transpiration. (Lophophora wiliamsii)
Froide.
Peau. (Lophophora wiliamsii)
Pâleur des muqueuses de la région trigéminée.
Rougeur.
Fourmillements, des muqueuses.
Symptômes généraux. (Lophophora wiliamsii)
Toute vie, toute activité externe cesse.
Anesthésie partielle, périphérique.
Le corps est froid, sensation de froid interne.
Amélioration dans le noir, le sombre.
Sensation de courant électrique dans les jambes.
Sensation de martèlement du corps.
Perte de la chaleur vitale.
Sensation de perte de la chaleur vitale.
Les injections sous-cutanées sont douloureuses.
Là position allongée améliore.
La mobilité est diminuée.
Perte de toute mobilité.
Mouvements de type choréiforme. à midi.
Douleurs battantes, broyantes, internes, et s'étendant à la peau, opiniâtres après injections sous-cutanées, pulsantes, soudaines.
Pouls augmenté, diminué
Rigidité musculaire.
Raideur des articulations, des muscles.
Aggravation par la lumière du soleil.
Fatigue durant le jour.
Le toucher est perçu en tant que couleur.
2 Symptômes toxicologiques (Lophophora wiliamsii)
Psychisme.
Hallucinations magnifiques, entend des voix, voit des objets mobiles, voit des serpents,
Euphorie.
Sensation d'être deux personnes.
Prédit, prophétise l'avenir, le futur.
Hallucinations colorées
Sensation d'être comme ivre.
La musique produite par des tambours, rend euphorique.
Tristesse.
Hyperacuité sensorielle.
Perte de la notion d'espace.
Le temps passe sans que l'on s'en rende compte.
Illusion d'être deux personnes.
Larmes, pleurs.
Vertige, (Lophophora wiliamsii)
général.
Tête, (Lophophora wiliamsii)
Douleurs.
Yeux. (Lophophora wiliamsii)
Dilatation pupillaire.
Organes génitaux. (Lophophora wiliamsii)
Perte du désir sexuel.
Sommeil. (Lophophora wiliamsii)
Absent.
Transpiration, (Lophophora wiliamsii)
Abondante.
Peau. (Lophophora wiliamsii)
Engourdissement, fourmillements localisés.
Symptômes généraux. (Lophophora wiliamsii)
Lassitude.
3 ‑ Réponses Cliniques (Doses pondérales)
Estomac. (Lophophora wiliamsii)
Diminution de l'appétit.
Diminution de la soif.
Symptômes généraux. (Lophophora wiliamsii)
Fatigue, lassitude.
Douleurs articulaires. »
Références : (Lophophora wiliamsii)
Docteur James Stephenson : « Provings » Hahnemanniens. Pages 64 à 68. Lophophora Williamsii.
Gisevius : Deut. Zeit. f. Hom., 1932.
Hale : Hahn. Month., 31, 776.
Weir Mitchell : Mo. Hom. Rev., 41, 112. N. E. Med. Gaz., 32, 129. Calcutta J. L. Med., 16, 223.
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