Roses: doux parfums, épines et cyanure
Les douces amours romantiques inassouvies peuvent nous faire souffrir et nous
étouffer.
Un producteur allemand de massepain a créé ce slogan : « Marzipan aus Liebe » (Massepain avec amour), qui convient parfaitement à l’idée que l’on se fait des Rosaceae, la famille des Roses.
Le goût typique du massepain, légèrement amer, provient de traces non-toxiques d'hétérosides cyanogéniques, à l'origine de l'acide cyanhydrique, qui ne se forment dans l’estomac qu’après leur ingestion. Le massepain est fabriqué à partir d’amandes douces (Prunus dulcis) et de sucre. Des niveaux plus élevés d'acide cyanhydrique sont présents dans les amandes amères toxiques (Prunus amygdalus amara et Prunus laurocerasus). Les noyaux d’abricots, de pêches, de cerises, de prunes, etc., ont ce même goût amer. Les thèmes d'Hydr-ac sont dans l’ensemble les mêmes que ceux des Rosaceae, bien que toutes les plantes de cette famille ne contiennent pas d’hétérosides cyanogéniques.
La famille des Rosaceae est un cocktail doux-amer fait de trois ingrédients, en proportions diverses :
- L’amour romantique, idéaliste et doux ; l’amour courtois des temps anciens
- Les thèmes exigeants et étouffants de l'acide cyanhydrique
- La piqûre des épines
Le thème de l’étouffement, bien connu dans Laurocerasus, se retrouve dans les situations où l’amour étouffe : un amour idéaliste qui exige qu’il soit éternel et romantique. Si cet amour idéal est compromis, l’amoureux déçu le prend très à cœur ; les épines sortent et peuvent alors déchirer les chairs tendres.
Symptômes
physiques
Problèmes cardiaques avec cyanose
Sensation d’étouffement et de suffocation avec asphyxie et cyanose des lèvres
Nouveau-nés cyanosés
Cyanose cardiaque et pulmonaire
Sténose cardiaque, sensation d’oppression et d’étroitesse
de la poitrine
Rosacée (couperose)
Si ces symptômes physiques sont aggravés par des
problèmes émotionnels liés à une relation romantique et accompagnés par des
problèmes cardiaques, un remède de la famille des Rosaceae sera fortement
indiqué.
Mental
Le thème du cyanure de la
famille des Rosaceae apparaît lorsque l’exigence d’un amour éternel se
transforme en menace pour le conjoint ou n’est pas accordée. Les roses
demandent un amour exclusif ; les relations extra-maritales sont exclues :
« Si tu m’aimes, je dois être le seul et unique amour de ta vie. »
Cet aspect de « tout ou rien » dans les relations évoque Natrum, mais
en plus doux et bien différent de l’aspect renfermé et du sang-froid rencontrés
chez les Natrum. Les caractéristiques de l’amour chez les Rosaceae sont :
douceur, parfum, unicité et summum bonum
( expression latine signifiant le « bien souverain », souvent utilisée
en philosophie médiévale, époque de l’amour courtois chanté et célébré par les
troubadours, pour décrire l’importance ultime, l’objectif final recherché par
tout être humain. Le summum bonum est
généralement considéré comme une fin en soi.)
Les Rosaceae non-épineuses, comme Agrimonia, ont peut-être une propension moindre à blesser durement. Celles sans cyanure semblent avoir une tendance moins marquée à étouffer et sont prédominantes dans les « maladies d’amour », comme le suggèrent les cas cliniques présentés ci-dessous. Ce n’est certainement pas par hasard si la pomme, un membre de la famille des Rosaceae, est un ancien symbole de l’amour et de la sexualité. Chez les pommes, la douceur prédomine ; elles n’ont pas d’épines et les pépins sont peu amers.
Les thèmes du
cyanure
La caractéristique de l’étouffement doit être comprise en
relation avec la famille des Rosaceae.
Cyanure = cyanose : une présence véhémente et
suffocante.
La formule chimique de l'acide cyanhydrique est H-C≡N:
hydrogène, carbone et azote.
Hydrogène: le principe acide, commencement soudain,
véhément, question de vie ou de mort, être ou ne pas être.
Carbone : structure physique, existence rigide ou
labile, mort imminente et peur de la mort.
Azote : expansion étouffante, prend trop de place,
déterminé, activité vasculaire.
Déduction des thèmes du cyanure selon la théorie des éléments et confirmés par les cas cliniques : cyanose (CN) avec une présence (H) véhémente (H) et étouffante (N). Activité maniaque (H), prend d’assaut son environnement (H), étouffe ceux qui l’opposent en les prenant de haut (CN). Prend trop de place et étouffe (CN).
Diagnostics différentiels (DD)
Rosaceae et Cyanure :
Laurocerasus présente les plus nombreuses caractéristiques du cyanure, alors
que les roses en général ont un aspect romantique que ne possède pas l’acide
cyanhydrique.
Rosaceae et sulphuricum :
ils ont tous les deux des problèmes avec l’amour et les relations. Sulphur,
cependant, est moins idéaliste, d’une apparence plus négligée, avec des
problèmes de peau à l’odeur désagréable et d’apparence sale. Il a aussi un
problème avec la séduction, utilisant maquillage, vêtements, etc. Les Rosaceae
sont cyanosées, avec des lèvres bleues, alors que Sulphur, dont les lèvres sont
rouges, est pléthorique et n’a pas de problèmes cardiaques particuliers, ni
d’étouffement.
Rosaceae et Natrium : l’attitude du « tout ou
rien » des Roses dans leurs relations est semblable à l’amour des Natriums
mais en plus doux, plus profond, différent de l’amour minéral, fermé et partial, des
Natriums. Les plantes sont plus ambiguës, plus organiques, plus coulantes, moins
prévisibles. Elles ont leur vie propre et peuvent « sentir », bien qu’elles
soient fixes, bien différentes, en effet, des qualités concrètes, métalliques,
presqu’ennuyeuses des minéraux.
Cas cliniques
Agrimonia eupatoria: Plein d’entrain mais ne peut pas trouver de partenaire. Il a le sentiment qu’il n’est qu’à moitié vivant ; sa deuxième moitié lui manque.
Une femme âgée, célibataire, se sent à moitié en vie car elle n’a jamais rencontré son âme sœur.
Son apparence est celle d’un professeur septuagénaire aux cheveux gris-argent, aux manières courtoises et élégamment vêtue ; elle porte une robe parsemée de petites fleurs rouges et une chemise vert pâle. Elle souffre de dépression, de claustrophobie et a peur de la démence sénile. Sa vision baisse, état accompagné d’un syndrome maculaire. Elle semble gaie et ouverte mais intérieurement, se sent compliquée et hypersensible. On a vite le sentiment qu’il est important de faire attention avec elle, car elle prend facilement les choses à cœur ; le moindre faux-pas peut causer problème et peut-être même la décevoir. Lorsque je lui demande quel est le problème principal, elle me répond très franchement, avec un sourire, qu’elle n’a « jamais rencontré son âme sœur, » et qu’elle ne s’est donc jamais mariée. Elle se sent seule : « C’est comme si je n’étais pas vraiment vivante, comme si j’étais dans une énorme boule de coton, aussi grande que la place du marché. » Je laisse de côté l’agoraphobie et lui demande ce que cela signifie pour elle que d’être vraiment vivante : « C’est d’avoir un compagnon, bien sûr, un mari ! » Elle me parle aussi d’une idée qui n’a pas porté ses fruits, celle de diriger une institution, mais sans être vue, derrière la scène, comme « une présence bienveillante » dans un établissement de santé !
Son choix de couleur se porte
sur 24D, un vert olive tendre. La rubrique du répertoire de couleurs suggère
Agrimonia, confirmé par les thèmes de la famille des Rosaceae : problèmes
avec le conjoint, amour inassouvi. Ses vêtements apportent une confirmation
complémentaire. Cela me semble suffisant pour essayer ce remède.
Prescription : Agrimonia
200C
Suivi
Le jour suivant, elle a
l’impression de renaître, même sa vision s’est améliorée.
Un mois plus tard, elle vint pour le suivi et me dit qu’elle allait bien mais très vite se plaignit d’autres problèmes. Elle donne l’impression de quelqu’un qui ne peut s’empêcher de se plaindre ; mettant rapidement de côté les aspects positifs, elle se tourne vers ce qui ne va pas. Maintenant, elle pense que son ventre est trop gros (ce qui n’est pas évident !). Je ne suis pas au mieux de ma forme et au lieu de simplement considérer ce symptôme comme une illusion, je me sens un peu irrité par son comportement. Je note qu’elle s’en est aperçue et réagit elle aussi avec irritation. Mon assistante rentre alors dans le cabinet, prescription en main, mais avec celle d’un autre patient. En bon prof, elle s’aperçoit immédiatement que le nom sur le label n’est pas le sien, et tout se termine. Deux erreurs consécutives ; les épines jusque-là cachées apparaissent et elle se renferme ! Elle annule le rendez-vous suivant et n’est jamais revenue.
Je partage ce court et incertain cas car il me semble illustrer un thème possible pour Agrimonia : « Gaie mais ne peut trouver de compagnon ; désire un mari mais n’en trouve pas ; se sent à moitié vivante, l’autre moitié lui manquant. » Cette observation s’est vue confirmer par un autre cas.
Son âme sœur lui manque, trop gai.
La patiente est une femme d’une quarantaine d’années, gaie et agréable ; elle est psychologue. Elle est d’une nature douce et avait bien réagi à une prescription de Lanthanum sulfuricum pour un manque de confiance en elle. Son principal problème cependant reste qu’elle n’a jamais trouvé de compagnon, ce qui semble étrange car elle est jolie et semble être d’agréable compagnie. Mais que sait-on du hasard ? À la suite d’Agrimonia eupatoria LM6, elle dit que son attente s’est apaisée et qu’elle ne souffre plus de ne pas partager sa vie avec quelqu’un. Elle se sent aussi beaucoup mieux en général, du moment qu’elle prend le remède.
Il semble donc que le thème soit confirmé, même si ce remède ne couvre pas tous les symptômes de ce cas.
DD Agrimonia et Apis : Edward Bach décrit l’élixir floral d’Agrimonia en ces termes : « Trop gai, amuse la compagnie, agité mais avec une attitude qui semble minimiser les problèmes», comme nous l’avons vu dans les deux cas précédents. Il cache ses problèmes sous une apparence joviale. « Gaieté après le décès d’un proche » se rencontre chez Apis, la veuve joyeuse. Alors que le patient Apis se sert de cette gaieté et se soucie de rester occupé pour survivre à la perte d’un être aimé, Agrimonia n’a jamais rencontré cet être et cache ce manque sous une apparence gaie. Apis est aussi plus agité… bzzz !
Crataegus oxyacantha: La Guerre des Deux- Roses (War of the Roses)[1]. Divorces, disputes, haine amère et problèmes cardiaques.
Rage silencieuse et asthme
Cet homme est un patient de notre clinique depuis 30 ans, et il nous a fallu presqu’autant de temps pour trouver « son remède » ; en fait, il y en avait deux. À sa première visite, il avait 35 ans, mince, le teint sombre, les yeux dangereusement perçants ; ils brillaient tel un charbon ardent lorsqu’il se sentait assiégé. Il s’exprimait d’une manière coupante, comme s’il était à bout de souffle. Il pouvait devenir très difficile s’il était contrarié (étape 12) mais il était fidèle et authentique (rose). Il souffrait d’un problème d’asthme, accompagné d’une douleur cardiaque (rose) ; ses lèvres viraient au bleu foncé (cyanure) et, parfois, son visage devenait bleu-gris. Il parlait très peu ; juste quelques mots ou des phrases très courtes. Il semblait dur mais s’il se sentait compris et en harmonie avec quelqu’un, il s’ouvrait et se révélait alors une douceur inattendue, bien qu’il demeure peu loquace. En-dessous de cette dureté se cachait une grande sensibilité qui le rendait perceptif aux mensonges des autres. Sa femme était très différente : extravertie, jolie, accommodante, et bien moins sérieuse que son mari. Cette différence créait de nombreuses disputes et alors chacun campait sur ses positions (étape 12). Elle avait ardemment désiré ce mariage mais était maintenant extrêmement déçue. Elle disait qu’il pouvait devenir haineux au moindre mot de travers. Il se renfermait et la punissait par son interminable silence, ses yeux ressemblant à des poignards (épines). Ce regard terrifiant lui faisait craindre qu’il ne finisse par la tuer, bien qu’il n’ait jamais exprimé quoi que ce soit de semblable. Il exigeait (cyan) qu’elle lui soit fidèle (rose), qu’elle soit ouverte avec lui et qu’elle lui obéisse. Les autres femmes ne l’intéressaient pas, il n’y avait qu’elle (rose). Dix ans plus tard, il avait déménagé dans le sous-sol de leur maison, vivant seul, sans aucun contact avec elle ; il pouvait ne pas lui adresser la parole pendant des mois, bien qu’ils vivent sous le même toit.
Il lui a été administré différents remèdes, les deux plus efficaces étant Sulphur et Kali bichromicum. Son asthme n’avait cependant jamais guéri et il devait constamment se servir d’inhalateurs et ainsi vingt années s’écoulèrent. Sa femme avait fini par le quitter, pleine de haine et d’amertume. Elle ne pouvait plus supporter sa présence étouffante (cyanure). Il s’était pour ainsi dire, cloîtré, quittant seulement sa maison pour aller travailler dans une quincaillerie. Devant cette situation extrême, nous lui avions prescrit Crataegus 1M, car entre temps nous avions découvert le thème de la « Guerre des Deux-Roses » et l’étape 12, lors du séminaire de printemps de Jan Scholten en mai 2004 ; un événement à ne pas manquer pour tout homéopathe ! C’est alors que les choses s’éclaircirent pour nous : la cyanose et l’allergie aux poires (un membre de la famille des Rosaceae) indiquaient la famille des Roses. Sa langue s’engourdissait lorsqu’il en mangeait. Il évitait tous les fruits à noyau, sauf les cerises.
Crataegus fut un remède merveilleux pour lui mais nous ne l’apprîmes que bien plus tard, à cause de son manque de communication. Il n’était revenu en consultation que sept mois plus tard pour un problème d’eczéma prurigineux dans la région cardiaque ; un nouveau symptôme qui avait remplacé la cyanose et l’asthme qui, eux, avaient disparu. Il avait arrêté tous ses médicaments peu après la prise du remède. Il n’y a pas eu répétition du remède pendant trois ans, date à laquelle il fit une rechute : asthme accompagné de cyanose. Deux années auparavant, sa sœur était venue en consultation et nous lui avions donné Crataegus avec beaucoup de succès. Lorsqu’il revint pour cette rechute, il nous parût évident que le remède devait être répété. Durant l’année suivante, il reprit le remède trois fois. Il a rencontré une autre femme et est devenu un peu plus ouvert, bien qu’il parle toujours peu. L’asthme et la cyanose ont complètement disparu.
Rage silencieuse et crise thyrotoxique aiguë.
Cette patiente est la sœur du patient précédent, comme lui, fidèle à notre clinique depuis ses débuts. Elle ressemble à son frère : sèche, brusque, vraie, facilement irritée, se réfugiant alors dans le silence. Elle avait développé contre son mari, qui buvait trop, la maltraitait et était mort jeune, une haine féroce. Son fils aussi pouvait provoquer cette haine en elle, même pour des raisons futiles. Malgré les mauvais traitements que lui avait fait subir son mari, elle lui était restée fidèle. Après sa mort, elle ne s’était jamais remariée, convaincue que le célibat était une meilleure solution pour elle. Je dus me rendre un jour chez elle pour une urgence ; elle avait des douleurs cardiaques sévères. Elle était saoule. C’était la première fois que j’entrais chez elle, et je ne m’attendais pas à un environnement agréable. En fait, le contraire fut vrai, et j’en fus très surpris. Tout était agréable, simple et soigné. La maison sentait bon, mis à part l’odeur d’alcool, et l’atmosphère était douce et harmonieuse ; le contraire de son histoire ! Elle collectionnait des poupées anciennes qu’elle habillait avec goût ; l’une d’entre elles était assise sur la table, comme si elle l’observait. Il y avait un côté doux et tendre sous cet extérieur revêche, caché pour la plupart des gens. Une belle âme couverte d’épines, malmenée par des problèmes qu’elle créait souvent elle-même. Carboneum oxygenisatum, Nitrogenium oxydatum, Anacardium et Thyreoidinium avaient, chacun leur tour, donné de bons résultats. La possibilité de Crataegus se présenta lorsqu’elle mentionna qu’elle ne pouvait pas supporter l’odeur des roses. Elle souffrait d’insuffisance cardiaque aiguë (cyanose) et d’hyperthyroïdie ; de plus, elle avait un caractère plutôt « épineux », autant d’indications pour ce remède. En phytothérapie, l’aubépine (crataegus oxyacantha) est utilisée pour l’insuffisance cardiaque. Ce n’est que plus tard que nous avons réalisé combien son histoire, le désastreux mariage compris, correspondait au profil de ce remède.
Après la prise de Crataegus oxyacantha 1M, il y eut une nette amélioration. En quelques jours, la dyspnée et la cyanose s’étaient améliorées et elle retrouvait un peu d’entrain. Son dégoût de la vie et ses menaces de suicide disparurent. Son apparence déprimée se transforma en une sorte de tranquillité paisible dont elle n’avait jamais fait l’expérience. Elle nous dit aussi que sa mémoire était meilleure. Après une autre dose du remède, un vieil ulcère cutané guérit. Elle changea son apparence vestimentaire, ainsi que sa coupe de cheveux. Elle pouvait monter les escaliers sans difficulté, alors qu’auparavant, elle devait s’arrêter après quelques marches tant elle était essoufflée. Elle faisait maintenant ses courses, revenant chez elle en portant son sac, presque gaiement. Elle perdit 22 kilos en l’espace de 3 à 4 mois, retrouvant son poids de jeune fille. Au cours de l’année suivante, elle reprit Crataegus 4 ou 5 fois ; si elle avait des problèmes d’essoufflement, le remède agissait immédiatement.
Elle eut alors une autre dispute avec son fils ; ni l’un, ni l’autre ne voulait céder. La cyanose revint et avec elle une dyspnée sévère. Elle dut être hospitalisée. Son fils refusa d’aller la voir à l’hôpital. Cela la rendit si furieuse qu’elle s’enfonça dans une rage silencieuse et très vite eut une crise thyrotoxique aiguë avec hyperthermie. Elle mourut à l’hôpital dans l’unité de soins intensifs, en quelques jours. Son fils refusa d’aller à son enterrement.
Mon Dieu, comment pouvons-nous être aussi durs les uns avec les autres, provoquant tant de souffrances inutiles !
[1] La guerre des Deux-Roses désigne une série de guerres civiles qui eurent lieu en Angleterre au 15ème siècle entre les maisons royales de Lancaster et d’York.
Photos: Wikimedia Commons
My sweet rose; Waterhouse JM
Roses prickles; JJ Harrison
Crateagus flowers and thorns; Ulrich Welte
Catégories: Cas
Mots clés: épines, cœur fermé, Guerre des Deux-Roses, disputes maritales, taciturne, fidélité, cyanose, douceur, trop gai, manque de partenaire
Remèdes: Agrimonia eupatoria, Crataegus oxyacantha
Envoyer un commentaire
Posts: 4
Reply #1 on : Sun December 02, 2012, 20:08:58