103. CAUSTICUM.

(Causticum de Hahnemann.)

1 Paralysie de la vessie par une longue rétention d’urine ; l’urine est émise très lentement, et quelquefois est retenue.

3 Paralysie vésicale après le travail de l’accouchement, rétention d’urine.

5 Énurésie ; passage d’urine involontaire la nuit en dormant. (Ars., Cupr., Kali-phos.).

7 Faiblesse de la vessie ; passage involontaire d’urine en toussant (Colch.) ; en éternuant ou en se mouchant  (Natr-m., Puls., Zinc.) ; la nuit quand on dort ; en marchant.

9 Diabète insipide.

11 Brûlure dans l’urètre en urinant, surtout après un rapport sexuel.

13 Catarrhe vésical ; besoins fréquents d’uriner, jour et nuit ; ou, rétention douloureuse, occasionnée par la moindre exposition au froid.

15 Rétention, avec besoin fréquent et urgent ; occasionnellement quelques gouttes ou une petite quantité d’urine sortent (Acon.)

17  Rétention d’urine (chez les nourrissons) (Ars.).

19  Urine :

(a)                                                  Claire, comme de l’eau.

(b)                                                  Épaisse, blanche, avec un dépôt d’odeur forte.

(c)                                                  Marron foncé (Bry.), trouble lorsqu’on la laisse reposer.

(d)                                                  Dépose un sédiment comme de la levure.

(e)                                                  Dépose de l’oxalate de calcium.

(f)                                                   Chargée d’acide urique et d'urates, avec une grande débilité.

21 Démangeaisons au niveau du méat urinaire.

23 Douleurs dans l’urètre et la vessie après le passage de quelques gouttes.

25 Délai pour passer les dernières gouttes d’urine.

27 Besoin urgent d’urine, avec l’obligation d’attendre longtemps avant de pouvoir le faire ; puis écoulement peu abondant avec réapparition du besoin.

29 Fréquent besoin d’uriner, avec un goutte à goutte involontaire d’urine.

31 Ne peut retenir son urine, ou, sent qu’elle passe le long de l’urètre.

33 Besoin fréquent, urgent, sans effet, puis, lorsque le malade s’assoit, une miction involontaire se fait.

33 Efforts non suivis d’effet pour uriner, après avoir uriné quelques gouttes, douleurs dans la vessie et après une longue marche, afin d’ > les crampes qu’il ressent dans le rectum.

37 Cystite.

39 Faiblesse du sphincter vésical (surtout chez les enfants) ; l’urine passe involontairement, surtout pendant le premier sommeil la nuit ; urine involontairement à la moindre excitation dans la journée.

41 Absence de sensation spécifique dans la vessie et l’urètre ; en conséquence, la miction est tellement facile que le prover n’est pas sensible au passage de l’urine et peut difficilement, dans le noir, croire qu’il est en train d’uriner jusqu’au moment où il s’en assure manuellement.