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Ce remède date depuis fort longtemps puisque Hering l'expérimenta le premier en 1850.
Quoi qu'il en soit, ce remède est peu employé, et comme vous le verrez plus loin, il s'agit d'une drogue fort utile dans de nombreuses circonstances.
De manière à bien situer la question, et avant de reproduire la traduction du proving de Reaside, j'ai préféré traduire un « vieux » texte de MMH concernant Tellurium.
L' Encyclopédie de T. F. Allen est beaucoup trop étoffée pour que l'on puisse traduire l'article consacré à Tellurium, mais il faut savoir que T. F. Allen (ne pas oublier qu'il existe trois Allen célèbres en Homoeopathie, et qu'il faut donner à chaque fois leurs initiales de façon à les différencier : TF, HC, et JH), a publié un petit ouvrage in‑16 de 500 pages environ, dans lequel il donne l'essentiel de chaque remède qui se trouve dans son Encyclopédie.
C'est à partir de cet ouvrage (Primer of M.M.) que nous produisons la traduction de Tellurium qui suit :
« Généralités (Tellurium)
Agitation. Faiblesse.
Tête clinique. (Tellurium)
Méningite basale, avec une très grande hyperesthésie du dos tout entier.
Intolérance au moindre contact ; ne peut s'allonger sur le dos ; avec paralysie motrice des bras et des jambes ; ptôsis.
Oreilles (Tellurium)
Au niveau de l'oreille externe, gonflement, brûlure, démangeaisons, douleurs et battements, suivis d'un écoulement abondant, liquidien, excoriant, qui sent le poisson saumuré, occasionnant une éruption vésiculaire, dès qu'il touche la peau.
Nez (Tellurium)
Coryza fluent, avec enrouement et larmoiement.
Dos (Tellurium)
Le rachis est sensible, depuis la dernière cervicale jusqu'à la portion moyenne du rachis dorsal ; ne peut supporter que l'on touche cette région, ou même qu'on l'approche ; la douleur irradie au cou, à l'épaule et au sternum ; aggravation par la fatigue, partiellement amélioré par le repos.
Extrémités (Tellurium)
Douleurs sciatiques ; aggravées, couché la nuit, aggravées sur le côté droit.
Peau (Tellurium)
Éruptions vésiculaires, confluentes, reposant sur une base enflammée, avec démangeaisons ; aggr. la nuit au lit.
Éruptions circulaires, herpétiques, reposant sur une surface enflammée, avec démangeaisons, sensations de piqûres cuisantes et brûlantes, ou comme par des aiguilles ; aggr. lorsque l'on est au repos. »
Ainsi, à l'aide de T. F. Allen, avons-nous une idée d'ensemble très claire du génie du remède, c'est-à-dire :
la peau, l'oreille, le rachis, en deux régions, depuis C 7 à D 5, et la région lombo-sacrée, avec le nerf sciatique.
Afin de préciser l'idée générale que nous devons nous faire de Tellurium, prenons le Clarke, au chapitre de Tellurium et voyons les caractéristiques que nous expose le grand Homoeopathe que fût Clarke.
Je signale qu’il s'agit d'une traduction libre, et non d'un mot à mot.
« ... Tellurium est combiné avec l’ or, l'argent, le plomb et l'antimoine.
Il rappelle Sulphur et Selenium, dans ses réactions chimiques.
Il fut expérimenté et introduit en homoeopathie par Hering en 1850.
Le trait le plus marquant de son expérimentation, fut l'irritation cutanée, y compris celle des paupières et des oreilles, ainsi que l'atteinte du rachis et de quelques nerfs.
La forme caractéristique dermatologique de l'irritation cutanée de Tell. est l'herpès circiné, et ce remède a probablement guéri de nombreux cas de teigne, surtout au niveau de la face et du corps, et cela plus qu'aucun autre remède.
(J'ai guéri avec ce remède un officier dont le corps tout entier était couvert d'une éruption d'aspect teigneux).
Le corps et la sueur sentent fort, comme l'ail.
Le prover doit s'asseoir à l'écart de tout le groupe à cause de cette odeur.
Au niveau des régions du corps, où la peau forme des ouvertures, l'effet de Tell. est décuplé, surtout au niveau de l’ oreille.
L'odeur caractéristique de l'écoulement auriculaire est celui du poisson saumuré.
L'écoulement est tellement excoriant, qu'il occasionne des vésicules sur toutes les régions cutanées qu'il touche.
Tell. est un de nos remèdes les plus importants, dans l'otorrhée.
Nash a guéri plusieurs cas d’ otorrhée post-scarlatineuse à l’ aide de ce remède, il utilisait la 6 ème dynamisation, les dynamisations plus hautes ayant échoué.
Les paupières sont enflammées, la tendance à la vésiculation s'étend à l’œil lui-même, entraînant une conjonctivite phlycténulaire.
D'autres régions cutanées sont affectées par Tell, ce sont la racine des cheveux, les seins, le périnée, et l'anus.
Il existe des démangeaisons rectales après la selle. Tell. a occasionné l'expulsion de vers.
La fétidité de Tell. se retrouve au niveau de l'haleine et des gaz ; c'est un remède primordial pour le traitement des sueurs plantaires, très fétides.
En plus de l'inflammation oculaire, que nous avons vue, Tell. occasionne des douleurs supra oculaires.
Peau et nerfs sont intimement liés dans Tell., et ce remède est le bon dans de nombreuses névralgies, en particulier la sciatique.
La latéralité droite est prédominante, et voici les modalités caractéristiques : la douleur sciatique est aggravée en toussant, en éternuant, ou en forçant à la selle ; aggrav. également couché sur le côté douloureux.
Beaucoup de symptômes et de douleurs de Tell. apparaissent et disparaissent brusquement.
Les oreilles sont brusquement bouchées.
Il existe de soudaines montées de sang à la tête.
Tell. a une grande sensibilité au toucher.
On retrouve cela dans l'hyperesthésie rachidienne de Tellurium.
Ce remède a également une action vulnéraire ; comme le montre cette observation de Kent (A. H., XXIII, 439).
Un enfant de 4 ans glissa et sa tête vint heurter violemment le sol.
Il perdit conscience, et le chirurgien consulté, le trouva dans cet état d'inconscience, avec un écoulement de liquide à partir de l’ oreille ; le praticien conclut que ce liquide était du liquide céphalo rachidien.
Cet état dura trois jours, après quoi le chirurgien posa un pronostic très péjoratif.
C'est à ce moment que Kent fut appelé.
Kent remarqua que le liquide était excoriant et qu'il irritait les régions cutanées sur lesquelles il coulait.
Il donna une dose de Tellurium, deux heures après, l'enfant se mit à vomir, ce qui était une excellente réaction, et deux semaines après, il était sur pieds.
Shelton (H.R., VII, 103) nous cite trois observations que voici :
1) Une veuve de 50 ans, présentait depuis fort longtemps une douleur au niveau de la région supérieure du dos.
Elle appréhendait le moindre contact, le moindre toucher au niveau de cette région.
Cette sensibilité était tellement importante, que lorsque l'on touchait cette région, la douleur s'étendait à l'occiput et à toute la région supérieure du dos.
Tell. 6 la guérit en 18 jours.
2) Mlle X..., âgée de 45 ans, fit une chute sévère, surtout au niveau du sacrum.
Elle souffrit plusieurs semaines du choc, avec une sensation de grand endolorissement au niveau de la région sacrée, juste au dessus de l'endroit où le coup avait porté.
Elle garda le lit durant plusieurs semaines, ce qui l'améliora du point de vue général, mais localement la région douloureuse le demeurait, et l'on vit apparaître de plus, une hypersensibilité du dos, surtout au niveau du tiers supérieur.
Tell. 6 la guérit complètement.
3) Mlle Y., âgée de 29 ans, qui avait présenté dix ans auparavant une méningite cérébro-spinale, consulta Shelton, pour une douleur pressive, brûlante, au niveau de la base du cerveau.
Le diagnostic posé fût celui de pachy-méningite.
La malade s'aggrava, et peu à peu, on vit apparaître du ptôsis, une hémiplégie droite, puis gauche.
De plus, l'hyperesthésie du dos, devint tellement aiguë, que le problème fut surtout de trouver un support sur lequel elle put reposer en paix, sans douleur ni souffrance.
Elle ne pouvait supporter le moindre contact, même le plus léger ; non seulement, elle souffrait au point de contact, mais surtout elle signalait que la douleur était ressentie dans la tête, et dans des régions du corps éloignées du point de contact.
Tell. la guérit.
Skinner signale la guérison (H.W., XVIII, 535) de deux chiens atteints de teigne, avec Tell. 1M F.C
On retrouve cette tendance irritante de Tell. dans le coryza, avec écoulement post-nasal, chatouillement laryngé, enrouement et toux.
Tell s'assoupit souvent et beaucoup ; bâillements après avoir éructé ; assoupi après mangé.
Je me souviens avoir prescrit à un enfant une dose de Tell. pour une éruption typique, et l'avoir guéri à la fois de son éruption et de bâillements irrésistibles.
Les sensations bizarres, singulières, originales de Tellurium sont :
01/ Peur d'être touché au niveau des régions sensibles.
02/ Impression d'être en l'air au moment de s'endormir.
03/ Sensation d'avoir le cerveau comme meurtri, contusionné.
04/ Comme si les cils étaient tournés vers l'intérieur.
05/ Comme si de l'air soufflait au travers de la trompe d'Eustache gauche.
06/ Comme si tout se trouvait noué au niveau de la région épigastrique.
07/ Comme si un liquide voulait couler au niveau du lobe du poumon droit.
08/ Il existe une périodicité pour certains symptômes.
09/ Un prover signale le retour des symptômes tous les mardis durant plusieurs semaines.
10/ Davantage de symptômes apparaissent à gauche plutôt qu'à droite.
Les symptômes sont :
Aggravés par le toucher ; le toucher fait saigner l'oreille ; le rachis est sensible au toucher.
La pression occasionne une boule au niveau de l'aisselle qui devient douloureuse.
Le repos aggrave.
La position couchée : améliore les vertiges ; sur le côté gauche occasionne des bâillements au niveau des côtes droites et vice versa, sur le côté gauche occasionne des douleurs cardiaques.
La position couchée sur le dos améliore.
Couché sur le côté douloureux aggrave la sciatique.
En se levant de la position assise : vertige ; visage rouge.
La toux, le rire, en forçant à la selle, en se baissant, aggravent le patient. Beaucoup de symptômes sont aggravés le matin, en étant réveillé, et la nuit. Le fait de manger assoupit.
Le fait de manger du riz occasionne des vomissements.
Manger et boire améliorent les maux de gorge.
Relations (Tellurium)
Antidoté par Nux (Oppression épigastrique).
Comparez : Tetradymite, qui contient du Tellur.
Agitation, nervosité; odeur d'ail, Ars.
Coryza, Cepa.
Otite, Puls., Bell., Ter.
Teigne, Bac., Sep., Nat. m.
Teigne confluente, Sep., Calc.
Nématodes, Teuc.
Les douleurs apparaissent et disparaissent brusquement, Bell., Lyc.
Aggravation par le rire, Phos.
Aggravation en forçant à la selle, Indm.
Toux et peau, Osm.
Étiologie : (Tellurium)
Chutes. Riz (vomissements). »
Après ce remarquable exposé comme seul Clarke sait les réaliser, je pense que nous sommes à même d'aborder le proving de Reaside et de ses collaborateurs, de pouvoir l'apprécier et le comparer aux « anciens provings ».
Voici donc le travail de Reaside et de ses collaborateurs.
11 femmes et 6 hommes, qui réalisèrent 3 provings séparés, dont voici les dates :
1 er proving : Novembre 1965. Tell. 6 C, 11 provers.
2 ème proving Février 1966. Tell, 12 C, 9 provers.
3 ème proving Mai 1966. Tell. 6 X, 9 provers.
Les provers reçurent durant les trois provings, Tell. matin et soir durant 14 jours.
Il semble que ce soit les 1 er, et 3 ème provings qui furent les plus fertiles en symptômes, c'est-à-dire, ceux réalisés avec des 6 C et des 6 X.
Psychisme. (Tellurium)
Impression d'être au sommet du monde (2 ème jour).
Serein et gai (2 ème jour).
Le psychisme est en pleine activité, même en superactivité.
Difficulté dans le processus de concentration mentale, ce qui occasionne un sentiment de frustration.
Irritable avec les gens, impatient.
Psychisme ralenti, assoupi la plupart du temps.
Tête. (Tellurium)
Céphalée frontale droite.
Céphalée frontale droite, avec douleur au-dessus de l’œil droit, aggravation durant la soirée.
Céphalée frontale, accablante, aggravée le matin, en étant assis.
Céphalée occipitale et bitemporale.
Céphalée brutale et s'accompagnant d'hébétude.
Céphalée à type d' élancements, au niveau de la région latérale gauche de la tête.
Yeux. (Tellurium)
Photophobie.
Les yeux démangent.
Les yeux « brûlent » énormément.
Oreilles. (Tellurium)
Douleur au niveau de l'oreille gauche.
Bourdonnements d'oreilles.
Sonneries dans les oreilles
Sifflement dans l'oreille droite.
Face. (Tellurium)
Rougeur circonscrite des deux joues.
Rougeur circonscrite au niveau de la joue droite et de l'arête du nez.
Grosses taches rouges sur le visage.
Plaie torpide au niveau du menton.
Peau du visage est très sèche.
Herpès de la lèvre.
Lésion septique ait niveau de la lèvre inférieure et à droite.
Démangeaisons des narines.
Le sourcil gauche est aminci.
Bouche. (Tellurium)
Bouche sèche, a soif de boissons froides.
Lèvres sèches.
Lésions de la bouche et de la langue, avec zones à vif.
Lésions au niveau du palais.
Lésions linguales, ulcérations sur les gencives et dans la bouche.
Gorge. (Tellurium)
Lésions du côté gauche.
Estomac. (Tellurium)
Nausées, aggravées la matinée.
Perte de l'appétit.
Grand désir de pain durant la soirée.
Adore le « bacon » très gras et le sel.
Désir de boissons froides.
Flatulence et coliques.
Pyrosis.
Abdomen. (Tellurium)
Distension abdominale et flatulence après avoir mangé.
Douleurs abdominales et constipation.
Douleurs au niveau du bas ventre.
S'éveille avec des douleurs abdominales et mal au dos.
Douleur piquante comme par des aiguilles au niveau de la région du foie.
Coliques au niveau du bas ventre suivies de selles liquidiennes.
Selles. (Tellurium)
Selles dures (deviennent de nouveau normales huit jours après la fin du proving).
Selles lâches (1 er jour)
Diarrhée ou constipation.
Appareil uro‑génital. (Tellurium)
Coliques prémenstruelles au niveau du bas ventre.
Règles avec une semaine de retard, et douloureuses.
Poitrine. (Tellurium)
S'éveille avec de la toux.
Toux, racle les mucosités, etc. sifflements de type asthmatiforme à huit heures.
Douleur sternale, aggravée par la respiration profonde, aggravée en se pliant.
Cœur (Tellurium)
Pouls rapide avec dyspnée à l'effort.
Palpitations : le cœur bat à 120/140 à la minute.
Palpitations avec sensation de constriction thoracique et douleur.
Palpitations dans l'après-midi, avec douleurs piquantes comme par des aiguilles, au niveau du cœur.
Le cœur devient irrégulier lorsque l'on est couché sur le dos ou le côté droit.
Douleurs piquantes comme par des aiguilles dans la région du cœur avec sensation de serrement, de constriction.
Douleurs comme par des aiguilles dans la région du cœur, irradie vers l'omoplate gauche, aggravée lorsque l'on est couché sur le côté gauche.
Extrémités. (Tellurium)
Douleurs au niveau de l'épaule gauche, aggravation par le mouvement.
Douleurs piquantes comme par des aiguilles au niveau du poignet gauche et des articulations des doigts.
Fourmillements, picotements, au niveau de la main droite, durant la soirée.
Faiblesse des jambes dans la matinée.
Sommeil. (Tellurium)
S'éveille en sursaut durant la nuit.
Insomnie.
Sommeil agité, avec rêves déplaisants.
Les rêves perturbent le sommeil.
Peau. (Tellurium)
Sensibilité douloureuse de la peau derrière l’oreille gauche, devient rouge et s'ouvre, sensible au toucher.
Petites taches rouges, qui démangent, au niveau du cou.
Sécheresse de la peau au niveau du visage et des mains.
Taches pruriantes au niveau du visage et du cou ; les taches rouges sont plus prononcées à droite.
L'acné disparaît tandis que l'on est sous l'effet de la drogue, mais réapparaît de nouveau, ensuite.
Éruption chaude, rouge, qui démange, oedématiée, au niveau de la jambe droite, du mollet droit, de la cheville droite.
Peau sèche, et démangeaisons par tout le corps, aggravation par le grattage aggravation vers 22 heures, aggravation lorsque l'on est fatigué.
Démangeaisons des extrémités durant la soirée.
Démangeaisons éparses au niveau de la jambe gauche, absence d'éruption.
Démangeaisons éparses au niveau des mains, et tache rouge au niveau du poignet droit.
Démangeaisons cutanées, aggravées en se déshabillant.
Éruption vésiculeuse au niveau des avant-bras.
Démangeaisons intolérables au niveau des régions cutanées du thorax, des bras et du cou.
Apparition soudaine de plusieurs petites macules pruriantes an niveau de l’ abdomen, du dos, du creux axillaire, s'étendant aux bras ; prurit du cuir chevelu.
Éruptions sur tout le corps, comme des têtes d'épingles, avec sensation exquise de piqûres d'épingles, mais surtout marquée au niveau des bras et du tronc.
Sensation d'avoir la peau qui se contracte, qui se serre, qui se rétrécit avant l'éruption cutanée.
Éruption de type urticarien au niveau du tronc, avec fourmillements cutanés.
Éruption eczémateuse entre les doigts et éruption au niveau du visage.
Symptômes généraux. (Tellurium)
Fatigué, absence d'énergie, faiblesse des jambes.
Grande fatigue.
Symptômes importants. (Tellurium)
Éruption cutanée avec démangeaisons, particulièrement sous forme de taches rouges, au niveau du visage, du tronc, des bras et des mains : 13.
Palpitations avec douleurs piquantes comme par des aiguilles au niveau du cœur et de la poitrine : 8.
Insomnie avec rêves : 12.
Céphalée, surtout frontale : 9.
Diminution du pouvoir mental de concentration, ou irritabilité : 7.
Bouche sèche.
Constipation, douleur et distension abdominale. »
Références : (Tellurium)
1) Docteur J.R. Reaside : Expérimentation de Tellurium (A proving of Tellurium). – British Homoeopathic Journal, 1968, n° 4, pages 216 à 220.
2) Professeur Timothy Field Allen : Encyclopedia of pure Materia Medica. Tome 9, pages 555 à 566.
A Primer of Materia Medica for practitioners of Homoeopathy. 1 ouvrage de 460 pages. Tellurium, pages 443 à 444.
3) Docteur John Henry Clarke : Dictionnaire de Matière médicale Homoeopathique. Tome III, pages 1385 à 1389.
4) Docteur Robert Séror : XIX ème Revue de presse homoeopathique de langue anglaise. Cahiers de Biothérapie, N° 22, Juin 1969, pages 135 à 138.
5) Docteur Othon André Julian : Matière Médicale d’ Homéothérapie. Peyronnet éditeurs, 1971. Tellurium, pages 470 à 475.
Dictionnaire de Matière Médicale Homéopathique, Masson éditeur, 1981, un ouvrage de 482 pages. Tellurium : pages 358 à 361.
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